Firehook en pratique
Comment fonctionne Firehook
Firehook te permet de déclencher des webhooks et appels API sous forme d’actions rapides. L’objectif : rester simple à utiliser, tout en étant assez flexible pour ceux qui automatisent déjà avec IFTTT, n8n, Pipedream ou Home Assistant.
Ce que fait Firehook
Un « hook », c’est un bouton que tu configures pour appeler une URL (webhook), avec éventuellement des headers, un body et des variables. Un tap peut lancer un workflow, piloter un appareil, appeler une API perso ou notifier un service.
Firehook reste volontairement générique : il ne remplace pas tes outils d’automatisation, il te permet de les déclencher vite — surtout quand taper au clavier est pénible (écran voiture, actions rapides, widgets).
Le déroulé classique
Firehook essaie de garder la boucle « tap → action » rapide et prévisible, même si le workflow derrière est complexe.
Où s’exécutent les hooks
Les hooks sont déclenchés depuis tes appareils. Firehook est conçu pour que les requêtes soient initiées par la session de l’utilisateur (téléphone/voiture) — et non exécutées comme un job côté serveurs Firehook.
Selon la destination, l’appel peut évidemment toucher des services tiers (IFTTT, n8n, Home Assistant, eWeLink, APIs cloud, etc.). C’est toi qui choisis ce que tu connectes et quelles données tu envoies.
Où sont stockés hooks et variables
Les hooks et leur configuration sont stockés dans ton environnement. Les variables permettent d’éviter de « coller » des secrets en dur dans les bodies.
Certaines variables peuvent contenir des valeurs sensibles (tokens, IDs, URLs). Firehook est pensé pour limiter les expositions accidentelles dans l’interface et lors d’un usage normal.
Quand le chiffrement des variables est activé, Firehook chiffre les données avant stockage avec une crypto standard robuste (à base d’AES). L’objectif est de protéger les secrets « au repos » dans ton environnement (par exemple en cas de compromission d’une sauvegarde).
Compatible avec ton stack d’automatisation
Firehook s’intègre bien avec des stacks courantes : n8n, IFTTT, Pipedream, Home Assistant, eWeLink, routines Alexa, et endpoints sur mesure.
Dans la pratique, Firehook devient souvent la « télécommande » de workflows déjà existants ailleurs.
Fonctions avancées (présentes et à venir)
Firehook évolue. Certaines fonctions existent déjà, d’autres sont prévues. Le principe : rester minimal, mais couvrir les vrais cas d’usage qui te poussent à automatiser au quotidien.
- Stateful — Gérer un état (on/off, ouvert/fermé) via la réponse ou un check de statut pour afficher un feedback utile.
- Geofence — Limiter où un hook a le droit de s’exécuter. Par exemple : autoriser un hook uniquement à la maison, et le bloquer en dehors d’une zone définie.
- Deep links — Ouvrir un écran/action précis via un lien — utile pour partager et pour lancer depuis d’autres apps.
- Bluetooth — Interagir avec des appareils à proximité quand le contrôle local est possible (piste future).
- MQTT — Pour des setups self-hosted/local-first, MQTT est une piste naturelle pour du contrôle low-latency (piste future).
- Partage de hooks — Partager des templates de hooks avec la famille/amis sans exposer les secrets (piste future).
Les fonctions prévues peuvent évoluer selon les contraintes des plateformes (notamment voiture) et les exigences de sécurité.